Les cas éliminés lors de l’étude sont présentés dans
un tableau en annexe C § II
afin de mettre en évidence le fait que ce sont plutôt des cas favorables
à notre hypothèse qui ont été éliminés.
Dans cette étude, nous avons choisi de comptabiliser
chaque ovni observé plutôt que les différentes observations,
puisque certaines concernent parfois le même ovni, ce qui est d’ailleurs
rarement simple à déterminer. Cela semblait légitime, mais nous constatons
au terme de cette étude que ce sont majoritairement des apparitions qui
profitent d’un effet ECS
ou EC2 qui sont observées
de plusieurs endroits différents et pour lesquelles nous avons été contraint
d’éliminer des rapports d’observation qui faisaient double emploi (voir
tableau). Peut-être cela est-il dû en partie au fait que nous avons été
beaucoup plus attentif à confirmer et à certifier les cas favorables à
notre hypothèse plutôt qu’à invalider et à éliminer ceux qui ne l’étaient
pas. C’est ainsi que, hormis pour la vague du
5 novembre 1990 où cela est d’une moindre importance, nous pouvons
garantir que les apparitions qui ont profité d’un effet ECL
ou EC2 et qui sont comptabilisées
pour les statistiques de cette étude sont toutes indépendantes les unes
des autres, soit qu’elles aient eu lieu un jour différent ou à une heure
nettement différente le même jour, soit que les observations aient eu
lieu à au moins 130 km de distance.