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La durée de traitement d’un cas est considérablement
accrue pour les cas étrangers à cause des problèmes de localisation,
de conversion horaire et d’examen du relief.
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L’étude d’une vague ancienne telle que celle de
1946 ou de
1954 se heurte à la difficulté de travailler sur des coupures
de journaux trop brèves et souvent incomplètes. En revanche, la
brièveté des descriptions permet un traitement accéléré.
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Si l’on se concentre sur des cas d’atterrissage,
on limite les chances d’obtenir des effets ECL
avec une lune à -2°, -3°, ou -4° ce qui tend à fausser les statistiques
(voir ci-dessus § 17
l’étude de la vague de 1954).
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L’étude d’une vague très concentrée dans le temps
donne un résultat déséquilibré, extrêmement favorable ou au contraire
totalement négatif. On peut cependant compenser ce déséquilibre
en étudiant de nombreuses vagues de ce type comme nous l’avons fait.
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Les observations faites par un astronome en train
de scruter le ciel ne peuvent être retenues car la position de la
lune et du soleil sont alors le reflet d’un choix lié à l’observation
du ciel (voir ci-dessus
§ 30 la vague d’août 1993 à mars 1994).
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L’étude d’une vague concentrée géographiquement
ou dans le temps entraîne une certaine difficulté à distinguer les
apparitions les unes des autres. Certains cas risquent alors d’être
dupliqués (voir ci-dessus
§ 36 l’étude de la vague d’août 1998).
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Une région accidentée risque de faire perdre quelques
effets de contraste ECL
où la lune est masquée par le relief à plus de 2° sur l’horizon.
(On note pourtant que l’on n’observe pas ou peu ce problème pour
les cas de Saint-Gervais-sur-Mare ou du
Col de Vence que nous avons étudiés.)
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Les cas aux conséquences graves, tels que ceux
avec dommages physiques
ou " enlèvement ", inspirent sans doute la prudence
aux auteurs d’ovnis qui ne souhaitent pas se trahir par un effet
ECL trop voyant, ce
qui tend à fausser les statistiques. (Cette remarque sous-entend
que les auteurs d’ovnis peuvent parfois évaluer à l’avance le risque
de dommages physiques : il ne s’agirait donc pas toujours de
dommages accidentels.)
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Les imitations des
skytracers de discothèque donnent de bons résultats et on peut
s’attendre à ce que les conditions météorologiques soient clairement
mentionnées vu l’importance de la couverture nuageuse pour ces cas.
Ceux-ci sont malheureusement trop rares pour constituer un large
échantillon.
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L’étude de rencontres dans le ciel est rendue difficile
par le déplacement de l’avion sur une certaine distance, et elle
nécessite la transposition de l’effet ECL
en un effet ECL’ (voir ci-dessus
§ 43 l’étude de ces cas).
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